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L'entrepise AOD

AOD  

AOD (Alpha Omega Direct) est une société belge fondée en 2009.

Elle propose des services de confiance (trusted services) en étroite collaboration avec des officiers ministériels publics. Ce concept unique et innovant s'appelle:

 

TrustO    

Les officier ministériels publics qui participent à ce concept sont appelés

Trusted Third Party Officers (TTPO)

En Belgique, il s'agit d'huissiers de justice et de notaires. 
Le service public fédéral ICT (Fedict) peut également remplir ce rôle
.

Les statuts de AOD se distinguent par la clause suivante:

"… La société a pour objet de (faire) exécuter/proposer des Trusted Third Party services/services de tiers de confiance, en collaboration avec des officiers publics/trusted third party officers, en abrégé TTPO (huissiers de justice/notaires), en recourant ou permettant de recourir aux procédures de confiance et autres outils nécessaires à la protection, la sécurité juridique, l'opposabilité et la garantie des échanges électroniques (identification, authentification, horodatage, intégrité, stockage, signature électronique, reconnaissance/confirmation électronique et hybride de l'originalité du document…)."

 

D'où vient le nom AOD (Alpha Omega Direct)?

L'alpha et l'oméga, la première et la dernière lettre de l'alphabet grec, est une métaphore pour désigner la gestion de bout en bout du flux de documents:

Avec TrustO, AOD gère et contrôle l'intégralité du flux de documents, tant au niveau des parties prenantes qu'au niveau du document.

La volonté de diminuer les frais généraux (personnel, matériel, archivage), associée à une demande européenne et internationale croissante de méthodes de travail respectueuses de l'environnement, desintées à réduire notre empreinte écologique, constitue une motivation suffisante pour développer la "voie numérique" sous tous ses aspects.

Il faut néanmoins trouver une solution au problème le plus délicat de l'échange électronique de données, à savoir la sécurisation des échanges.

“TRUST”

La confiance tend ainsi à devenir une notion clê dans l'échange électronique de données.

"Comment garantir la sécurité juridique et une validité juridique opposable aux utilisateurs qui échangent des documents par voie électronique et leur permettre d'avoir une entière confiance en l'authenticité des documents envoyés et/ou reçus?"

"Dans quelle mesure une démarche, commerciale peut-elle garantir l'autorité objective des documents?"

 

Ces préoccupations ont donné naissance au “Trusted Third Party Officer” ou concept TrustO.

Cette évolution des mentalités en faveur de la communication électronique ou numérique doit par ailleurs se faire de manière progressive.

On ne peut pas obliger tout le monde à passer du format papier à une système électronique.

Le concept TrustO constitue dès lors une alternative numérique visant à tendre un pont entre le papier et l'univers numérique.

Enfin, il convient de ne pas confondre "confiance" et sécurisation. La sécurisation ne constitue en effet qu'un minimum "olympique".

En revanche, la confiance garantit, sous le contrôle d'un ministériel public (TTPOfficer) la mise en place d'un "dispositif technique de sécurisation approprié" par la "bonne personne", au "bon moment" et dans le "bon environnement".